« Merci mille fois, je saurais m’en montrer digne ». il incline la tête en direction de Saya.
"Je ne pense pas vous apprendre grand chose mais il y a moins d’une semaine, un bateau de pèche appartenant au homme de Miller a disparu, certainement volé. Miller était fou de rage car aucun des villageois n’a avoué son crime. Je connais bien les habitant du village, j’y ai passé la majeure partie de ma vie, personne n’aurait fait ça, il n’y a que peu de pêcheurs et il pratiquent l’art ancestrale de la pêche en pirogue.
Il a menacé mes amis, les a frappé, et a fini par tuer mon… grand père."
L’indigène vous remercie encore une fois et se retire en passant par la fenêtre.
Vous décidez de rassembler vos affaires et d’avaler quelques reste de la veille en guise de petit déjeuner. Une heure plus tard, vous sortez de la case en direction de la cabane de MacAllister.
L’air est frais et d’humidité, pas étonnant pour un 30 juillet, malgré les températures estivales, au Guatemala, c’est l’hiver. Les premières lueurs de l’aube percent le voile de la nuit.
Vous êtes devant la cabane de MacAllister, que faites vous ?
Marius s’exclame en voyant sortir l’indigène par la fenêtre :
" Par Marianne ! voyez-vous ! voyez-vous même !, il sort par la fenêtre ! mais quel manque d’éducation ! sapristi !
Heureusement qu’il été pas caché dans le frigo pour nous surprendre pendant la nuit est en serait sorti, car il serait re-parti par le frigo ! "
Marius se lève et rassemble ses affaires puis sort vers la cabane de MacAllister.
" Bon il est trop tard pour reculer, réveillons le, ils me tarde de revoir ma douce Marianne …"
" Hâtez-vous bon sang ! je vois que le dicton " l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ne concerne pas tout le monde " s’exclame Marius les mains sur les hanches et tapant du pied.
« Oui, j’en ai une. A quoi devenons nous attendre sur le trajet ? On a déjà eu droit à cette bande toute de noir vêtue et Miller semble assez pot de colle. J’aimerai savoir à quel type de danger on va devoir se frotter. »
« Les dangers habituels Mister Jones, les animaux, venimeux ou non, le climat, la végétation, les marécages ou sable mouvant.
Vous devrez rester en alerte constamment. La jungle et certainement l’endroit le plus dangereux du monde »
Tout à coup, deux indigènes se présentent devant la cabane. Il s’agit des porteurs que MacAllister attendait. Vous reconnaissez l’un d’entre d’entre-eux, qui n’est autre que l’homme qui vous a agressé cette nuit. Il vous fait un petit signe de la main.
« Il est temps de se mettre au boulot. Vu que vous êtes en avance, autant vous mettre à contribution. Il faut charger les mules avec tout ça » Il vous désigne un tas de sacs à proximité de l’entrée.
@Spin0us : les étendues sauvages te manquent, tu es un aventurier après tout. D’un bon tu te lèves, pressé de partir, tu ramasse un lourd sac et disparais à l’extérieur.
@Metamec : tu désapprouves les propos de Marius en passant tu le bouscules intentionnellement.
@Darwick : Tu ne t’y attendais pas, tu pers l’équilibre l’espace d’un instant.
Avec l’aide des porteurs, KJ et Saya charges les sac sur les mules. Les autres, à l’excepté de Marius qui se prélasse sur une chaise, vous transportez quelques caisse à l’extérieur.
J’aide le groupe et au passage je rappelle au Marius ( @Darwick ) qu’on est tous dans le même « bateau » et qu’il serait bien qu’il vienne donner un coup de main.