« Plus tard Saya, nous devons absolument atteindre la mer avant que ses créatures nous attrapent »
Saya lui rétorque : " Vous semblez bien connaître ce monde que nous sommes tous sensés découvrir. Sir MacAllister nous devons nous faire confiance, vous l’avez dit vous même : nous sommes en danger. Vous avez fait l armée, on ne dissimule pas d’informations à ses troupes nous ne formons qu’un !!!
Maintenant, fonçons vous nous raconterez tout très vite… j’espère."
Vous courrez à toute jambes en suivant MacAllister. Derrière vous plusieurs scorpions commencent à sortir de terre et vous poursuivent. Bientôt, toute une horde est à vos trousses, soulevant un nuage de sable lumineux qui virevolte dans les air. Vous savez n’avoir aucune chance, si ils vous rattrapent. Vous parcourez plusieurs centaines de mètre et la fatigue se fait ressentir. Il n’est pas aisé de courir dans le sable avec vos armes à la main et vos paquetages, vous êtes essoufflé alors que vous vous trouvez en bas d’une dune de plusieurs mètres de haut.
« Vite il faut escalader la dune, l’océan est juste derrière. »
Regroupant vos derrières forces, vous gravissez la dune et découvrez une vaste étendu d’eau qui s’étend à perte de vue. Une mer sous la surface de la terre !

« Pas le temps de vous extasier, allez on descend. » lance Maccallister.
Les scorpions atteignent le bas de la dune et commencenr à grimper. Vous dévalez la pente et courrez jusqu’au bord de l’eau, alors que les scorpions atteignent le haut de la dune.
MacAllister scrute la surface de l’eau.« Bordel, mais qu’est ce que tu fous, tu devrais déjà être la »
Les scorpions qui viennent de descendre de la dune, se ruent sur vous. Pour la première fois depuis votre rencontre, vous voyez MacAllister crispé et inquiet.
« Tirez » ordonne MacAllister, « Défendez vos vies ! »
Vous prenez position et commencez à vider le chargeur de vos armes. Le Bruit est assourdissant, chaque coups de feu résonne comme cent coups de tonnerre. Vous abattez quelques scorpions mais ils sont bien trop nombreux. Ils ne sont plus qu’à 20 mètres, tout semble perdu, quand derrière vous, jaillit hors de l’eau, un immense poisson. Il s’abat de tout son long dans une gerbe d’eau, haute de plusieurs mètre, et reste flottant devant vous, à la surface. La bouche du poisson commence à s’ouvrir lentement.

A l’intérieur de la gueule, vous apercevez un groupe d’hommes lourdement armé. Au centre vous reconnaissez une silhouette familière.
Le Professeur Grant !
Comment cet homme, qui avait disparu devant vos yeux, il y a plus de deux mois, peut il se trouver devant vous.
Il tient à la main un tube un cuivre, relié par des gros câbles électriques à une sorte de moteur fait encore une fois, dans le composant métallifère que vous commencer à connaitre.
« Tous à terre ! » vous intime-t-il
Il actionne sa drôle d’arme et un déluge d’obus s’abat sur les scorpions, provoquant de larges explosions. Une des hommes insère les projectile dans le lanceur pour recharger l’arme au fur et à mesure. Appuyé par les tirs de soutiens des hommes aux côtés de Grant, il ne reste bientôt plus grand choses des scorpions. Quelques survivants s’enfouissent dans le sable et vous voyez les sillons s’éloigner.
Grant éclate d’un grand rire.
« Quelle magnifique prototype que voila. Comment l’ont il appelé celui la, ah oui, l’étherotron à polarité negative ! Je crois bien que c’est ma préférée: » dit il en se caressant la barbe.
Vous êtes abasourdi par tout ce qui vient de se passer. Des scorpions et des poissons géants, du sable luminescents, le Professeur Grant vivant et libre. Tout se mélange dans votre tête presque à en avoir le tournis.
« Grant, ton art de la mise en scène à failli nous tuer » lance MacAlliser.
« Oh, si peux, je faisais durer le suspense et je mourrais d’envie d’essayer ce jouet » lui répond Grant.
Il s’avance tout au bout de la gueule du poisson.
« Quand à vous mes amis, »
il prend bien soin de regarder chacun d’entre vous, bloquant légèrement sur Jairo qui lui est inconnu.
« Félicitation, vous avez réussi l’épreuve ! »
« Je n’aurez qu’une chose à vous dire, »
il écarte les bras pour vous accueillir, comme la première fois ou vous l’avez rencontré,
"Bienvenue... dans le **MONDE INTERIEUR**"
To be continued...