🖌 Défi du mois d'Octobre 2020 - Monstrueusement vôtre

Dalmanella · Octobre 9, 2020, 6:22

merci à vous,
C’est effectivement l’idée le blanc immaculé qui tranche sur les muscles écorchés, avec le coté créature magique qui reste sous jacent.

Sceptik · Octobre 9, 2020, 10:01

Bordel, je suis vraiment à la ramasse. J’ai pris les photos de mon monstre, lancé la peinture, et me suis rendu compte que j’avais oublié le papier…

Je mets avec le « ATTENTION » pour encore plus me payer la honte…

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Sepakoul · Octobre 10, 2020, 6:49

J’aime bien, vu les couleurs il ne depareillerait pas en zombie de tzeench.
Le choix du blanc est une bonne idée mais la transition trop propre donne l’impression d’une découpe nette au scalpel…
Cette remarque n’engage que moi, mais pour ma part j’aurais tenté une transition moins précise pour simuler un pourrissement. (Avis très personnel)

Dalmanella · Octobre 10, 2020, 8:03

Elle ne pourrit pas sa magie intrinsèque l’en empêche, elle est comme plastinée.

Zejuju · Octobre 10, 2020, 8:21

Fig superbe. J’ai noté les sabots dorés… même zombie on peut être fashion en fait…
Ma seule critique: j’aurais tenté les muscles plus rouge foncés avec un rendu humide… mais je ne sais pas si j’aurais réussi…

En tout cas c’est top! Reste le socle: de l’herbe statique avec petites fleurs et champignons?

Dalmanella · Octobre 10, 2020, 9:01

Je pensais passer un vernis brillant sur les muscles.
Socle transparent pour voir les dalles du jeu, quand elle foncera sur les héros corne en avant!

Zejuju · Octobre 10, 2020, 11:49

Faut regarder « la cabane au fond des bois », petit film d’horreur qui m’amuse toujours… sur un plan on a une licorne qui embroche un scientifique… ça m’a toujours fait sourire…

Dalmanella · Octobre 10, 2020, 11:56

Dans un épisode de supernatural, une licorne embroche un mauvais papa.

xben · Octobre 10, 2020, 1:04

C’est fini pour mon couple d’hommes-lezards :

Je vais m’ajouter quelques gob, car comme le dit le proverbe elfe : " Quand tu ne sait pas qui a attaqué le village, demande aux gobelins il n’y sont jamais pour rien !