Merci Aabryss pour ta remarque. J’ai apporté une petite modif au texte initial pour plus d’exactitude
Ah mais non fallait pas modifier à cause de moi , en fait je ne connaissais pas Zombicide green horde, dans ton texte original tu parle d’orcs et je n’ai pas été choqué, je me suis dit que tu comparais les zombis à des orcs pour illustrer tes propos, les orcs ça débarque en gueulant, ça foncent dans le tas, ça ramasse ce qui traine pour faire une arme ou un véhicule, la waag quoi
La Waaagh
Avant le défi de Novembre (la fig est arrivée aujourd’hui), il fallait bien que je me dégourdissent les pinceaux (après cette loooongue léthargie…).
C’est chose faite car je continue ma boîboîte de zombicide green horde.
Et 34 autres figs, les walkers…
Bon j’ai fait le paresseux avec les yeux (me cacher derrière un semblant d’osl raté…). Peut-être que j’y reviendrai plus tard, j’enchaîne là le défi pi j’attaque les fattys et les héros (quand je vous dis que je suis reparti ^^)
Tu chôme pas c’est cool
Oui, j’ai eu un coup de mou entre juillet et septembre mais j’ai repris un bon rythme là
Ils sont salissants à souhait
Peut être un retour sur les yeux avec un coup de vernis brillant dessus, quand ça prend la lumière ça marche à fond, je fais ça avec mes boyz depuis peu, j’adore
Ton vert des yeux mériterait aussi d’être plus flashi, là il ressort moins avec la peau des orques.
Et sans plus tarder, voici, pas à pas, la description de mon défi de Novembre 19.
Changement d’idée, ce ne sera pas sur le sol…
Impec ce petit pas à pas
Je l’aurais bien vu dans un club de strip mais ça fonctionne aussi
Si je puis me permettre, pour le toit, les tuiles en quinconce auraient été un poil plus « réaliste ». Mais c’est vraiment pour faire le chieur
Merci @Spin0us pour ton retour, dans le cas présent, je ne peux le refaire. Cependant, à l’avenir je veillerai à respecter le mode en quinconce
Je crois qu’il est déjà tout nu !
Bon bah v’là, un projet avec figs hyper grandes et déjà peintes…
Mais c’est pour ce qui va autour que je fais ce récap. C’était un chalenge, une demande de ma femme (elle allait acheter une crèche… insensé !!!).
Donc tadaaa…
Une petite idée de l’échelle…
Le support de la scénette.
Puis les murs
La structure du toit (avec leds)
Pi la finition
Un tour en forêt (pour récupérer de la terre) et c’est terminé
Bon allez… à l’assaut du défi de Décembre maintenant !!!
J’adore ! C’est vraiment super. J’aime le côté structuré avec le bois. Chapeau !
Voilà, quelques étapes du défi de Décembre 19.
Mon perso brut (au final j’ai mis le champignon et le socle de côté, ils ne collaient pas avec mon fluff…).
Sur un boîtier cristal de CD.
L’arbre en fil de fer enrobé de liquitex. une mise en peinture avec mélange peinture, colle, sable. Avec cette texture, je fais les racines (avec des petits branchages ramassés en forêt).
Flocage (ras et statique)
Et le résultat final (je me rends compte que je n’ai pas photographié la mise en peinture de SomFollet).
SomFollet sous son chêne brulé.
Le petit fluff qui accompagne mon personnage.
" Je vous présente SomFollet (ce qui signifie « dors petit fou »). Lutin dont les rares amis pensent qu’il est originaire de la Comté de Chwarm. Quant à son âge, comme tous les lutins, il est tellement difficile de le cerner que personne se risquerait à le fixer. Lui demander est encore plus impensable… on ne demande pas son âge à un lutin !
Maintenant (enfin depuis au moins 200 ans comme le témoignent les vénérables plantés çà et là dans la parcelle), il vit à la lisière de la forêt d’Huelgoat, plus précisément, entre le hêtre moqueur et le chêne brûlé.
D’un tempérament très changeant, il peut passer ses journées à somnoler comme aujourd’hui, ne bougeant que pour se remettre de temps à autres pile poil sous l’ombre de son arbre du moment. Heureusement que ces ombres exécutent toute la journée le trajet inverse de l’astre du jour car sinon SomFollet ne bougerait pas un cil de la journée tant est si bien qu’on pourrait le croire mort…
Et d’autres jours au contraire, on le verra s’astreindre à une suractivité de l’aube au crépuscule sans jamais comprendre les raisons de ce changement soudain.
Ces jours alors, il enchaîne des marches à un rythme forcé, toujours très nerveux, parfois chantant, parfois parlant sans cesse pour lui même (quoiqu’on pourrait avoir le sentiment qu’il campe différents personnages tant ses intonations, accents et langues peuvent varier lors de ses interminables tirades).
Alors, dans cette suractivité, il inspecte les rochers, les mousses, tourne les feuilles mortes comme s’il cherchait quelque chose mais personne ne sait quoi.
Mais, quelle que soit son humeur, depuis bien 140 années, les résidents de la forêt n’ont pas à se plaindre de ce petit bonhomme certes un peu étrange mais pas méchant.
La seule constante qui vient rompre avec la versatilité de ses humeurs et activités, que tous dans la forêt craignent par contre sans réserve, c’est sa haine éternelle des humains. Alors qu’il vit sans se faire remarquer auprès de la faune et la flore locale,cette inaltérable haine peut l’amener à sortir de sa réserve habituelle et à causer un chaos qui anéantirait tout espoir dans ce lieux habituellement si calme et bucolique.
*Encore une fois, personne ne sait vraiment d’où provient cette haine viscérale (et les rares animaux ou végétaux à qui il adresse la parole se gardent bien de prononcer ne serait-ce que le mot « humain » en sa présence, pensez bien que personne de sensé n’envisagerait demander les raisons de la colère…). *
Tout ce que l’on sait, les plus anciens arbres le chuchotent dans leurs branches. Il y a environ 140 ans, SomFollet a bien failli embraser toute la forêt avec ses sorts dont il connaît le secret. C’était en raison du passage d’un chevalier accompagné de son écuyer et d’un barde. Ce barde suivait l’équipage une petite cithare à la main et composait une chanson en l’honneur de son protecteur.
L’erreur de trajectoire qui amena la monture trop prêt du chêne de SomFollet (chêne qui n’était pas brûlé à l’époque), l’erreur consistant à ne pas se cantonner au bruit des pas lascifs des chevaux mais à y ajouter le bruit des complaintes poussives d’un barde, l’erreur du vent qui porta ces décibels aux oreilles du lutin, … bref, toutes ces erreurs scellèrent le sort des trois humains, des chevaux, du chêne et de beaucoup d’autres arbres et animaux ce jour là.
Une mer de flammes se déchaina sous les incantations d’un SomFollet totalement dominé par la rage (feu follet ?), ce feu surnaturel ravageant et dévorant tout sur son passage. Il fallut trois semaines pour que les derniers braséros s’éteignent. Le vent avait compris le message rapidement. Il avait cessé de souffler et avait convoqué sur le champ la pluie pour qu’elle tente de venir en aide aux essences de végétaux et aux animaux en péril. A tout instant s’allumait un nouveau foyer, parfois à quelques mètres, parfois à une demie acre du foyer d’origine.Tout ce petit monde était affolé et désemparé tant le piège que formait cette mer mortelle et imprévisible, risquait à chaque instant de les anéantir…
Tremblant encore à l’évocation de ces souvenirs, les plus anciens arbres survivants ne manquent pas aujourd’hui encore de rappeler cette histoire aux plus jeunes et aux animaux sylvestres pour les effrayer et les mettre en garde.
Craignez que SomFollet ne croise un humain, craignez qu’il lance de nouvelles invocations destructrices !!!
Cette tradition orale fonctionne tellement bien que tous restent sur le qui-vive.
*A la moindre approche d’un humain, homme, femme, jeune ou vieillard, c’est l’ensemble des habitants qui frissonnent de crainte et se mettent à pieds d’oeuvre. *
Tout est bon pour distraire SomFollet d’un côté et garder l’humain loin de lui :
Les branches se mettent à craquer plus fort sous l’effet d’un vent bien orienté pour les faire craquer tout en chassant les sons et odeurs qui pourraient émaner de l’intrus, les racines, ronces, fougères et lianes se mettent sur le chemin du marcheur pour lui faire rebrousser chemin, les gibiers se font remarquer de l’humain indésirable dans les directions opposées au Lutin dans l’espoir d’attiser ses instincts de chasseur et qu’il parte à leur poursuite, … tous œuvrent de concert pour ne pas figurer sur la liste des victimes d’un SomFollet ivre de rage.
C’est ainsi que vit ce petit bonhomme, pensant souvent rester dans une autarcie choisie, sans chercher à troubler son entourage direct; cependant il attire inconsciemment crainte et intérêt au sein de son environnement quotidien…
Pourvu que SomFollet sommeille à l’ombre de son chêne brulé et de son hêtre moqueur, voilà ce que tous ces voisins se disent sous feuille !!! "
Ca fait des semaines que ma série de Fatties Zombicide sont en arrière plan de mes photos déposées sur CFM.
Mais voilà c’est fini ^^
Les 14 fatties sont finis.
Il ne me reste que les héros le nécro et l’abomination et ça en sera fini avec la boîte Green Horde.
C’est pour bientôt
Voui, je suis sur trois projets en parallèle actuellement :
- La suite et fin de la boîte zombicide,
- les 6 chiens de compagnie de Dungeons Doggies,
- les 2 figs Severine et Sevora Devout (un projet pour mon petit frère).
Donc, je ne sais exactement quand je terminerai cette boîte mais ça ne saurait tarder
Et voici la série Dungeons Doggies offerte par @Vendetta (merci à lui) suite au tirage au sort du défi de Novembre 2019 (Faunesque).
Ca a pas traîné. Quel utilité tu leur prévois ?